Paroles de A thousand towers white (traduction)

Dragonland

pochette album A thousand towers white (traduction)
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sonnerie téléphone portable pour A thousand towers white (traduction)

« les côtes des terres du sud s’étendent à des miles innombrables, avec des roches déchirées telles des dents d’un dragon. des marais désespérants et des criques appartenant à de nombreux pirates et bandits des mers. mais ce ne fut pas la vision que l’insulaire a vu lorsqu’il a posé ses yeux fatigués sur cette terre aride. les terres légendaires se trouvaient juste à une journée de chevauchée au sud de westmar avec leurs douces dunes qui ressemblait tellement à celles qu’il avait quittées de chez lui, et même à celles des rivages d’ivoire que son oncle avait vus dans sa jeunesse. complètement épuisé lorsqu’il a touché la terre ferme et toujours endeuillé par la perte de ses amis, il pouvait à peine se contenir lui-même. car il était bien conscient d’une puissante vision que le rayonnement de nombreux clochers se trouvait au nord ; le joyau de l’ouest, la fierté des hommes – la cité royale de westmar. » je lève ma tête et pose le regard sur les rivages argentés, avec le sable sur les pieds et le soleil à mon dos, je longe la côte depuis des jours, qui brille dans la rosée brumeuse que je vois, ici, un millier d’aiguilles, rayonnent tel le feu dans le soleil, je les vois s’élever sur les plaines ouvertes, et je sais que je me souviendrais toujours, comment j’ai vu un millier de tours blanches, quand j’étais jeune on m’a parlé, d’une cité de puissance et d’honneur, la couronne d’un empire, tellement puissante qu’elle en était effrayante, et à présent je me tiens devant elle, je pose le regard sur un vieux rêve, ici, un millier d’aiguilles, etincelant telle la glace dans le soleil, je les vois s’élever sur les plaines ouvertes, et je sais que je me souviendrais toujours, comment j’ai vu un millier de tours blanches, les portes spéculaires se déploient devant moi, serein flamboiement dans l’aube, s’ouvrent pour les vastes lignes d’hommes, j’observe avec perplexité, cœurs et rêves brisés, Écrasés par une grave tyrannie, cris et maisons en ruine, parmi une industrie corrompue, un règne sinistre, frère se tourne contre frère, une peur irrationnelle a assouvi les elfes et les nains, qu’est-ce qui se trouve au-delà d’une telle oppression ? les tours brillantes jettent une ombre sur moi, ici, un millier d’aiguilles, rayonnent tel le feu dans le soleil, je les vois s’élever sur les plaines ouvertes, et je sais que je me souviendrais toujours, comment j’ai vu un millier de tours blanches

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