Paroles de La musique des villes

Charlélie Couture

pochette album La musique des villes
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sonnerie téléphone portable pour La musique des villes

Une sirène qui passe, un moteur qui vrombit
Un truc qui casse, tohu-bohu ou mélodie

Les villes sont remplies de sons
Confondus entre mille, c’est la musique des villes

Symphonie de bruits
Là où je vis
À l’écoute aux aguets, cette musique me plaît

Dans la rue en cul de sac, derrière la bibliothèque
Je r’connais le son sec de tes talons qui claquent,
Le grésillement d’un néon, le frottement du nylon
Ma main sous tes collants, une ambiance de roman

Quand je déambule, j’écoute les conciliabules
J’épie une conversation entre deux klaxons
Et puis je me rapproche et j’entends cett’ vieill’ pie

Qui reproche à un mioche de fair’ du skate sous la pluie
En alerte, je veille, je guette, je tends l’oreille
J’écoute ce qui se dit et tous les sons de la nuit

Quand j'm'endors, je voyage encore
Mes idées se fondent et je rêve d’onde
J’entends le son sombre d’un bateau qui sombre
Dans le port de londres
Et puis tout s’effondre

Les villes sont remplies de sons
Confondus entre mille, c’est la musique des villes

Symphonie de bruits
Là où je vis
À l'écoute aux aguets, cette musique me plaît

Les villes sont remplies de sons
Confondus entre mille, c'est la musique des villes

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