Paroles de Memories (traduction)

Phillip Larue

pochette album Memories (traduction)
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sonnerie téléphone portable pour Memories (traduction)

Les souvenirs sont comme des feuilles qui tombent
Il sont soufflés dans le vent
Tu essaies mais tu n'arrives pas les rattraper

Et ça se pose dans ses yeux
Les jours ils passent trop vite
Tu essaies de les faire durer
Mais ils continuent de passer, comme un fleuve
Vers l'océan, déferlant toujours

Qu'on aime, laisse aller, dis-moi que nous existerons toujours
Dis-moi maintenant, dis qu'il en est ainsi, dis qu'il en est ainsi, dis qu'il en est ainsi

Les souvenirs sont comme des feuilles qui tombent
Il sont soufflés dans le vent
Tu essaies mais tu n'arrives pas les rattraper

Et ça se pose dans ses yeux
Les jours ils passent trop vite
Tu essaies de les faire durer
Mais ils continuent de passer, comme un fleuve
Vers l'océan, déferlant toujours

Qu'on aime, laisse aller, dis-moi que nous existerons toujours

Dis-moi maintenant, dis qu'il en est ainsi, dis qu'il en est ainsi, dis qu'il en est ainsi

Sentir ses caresses
Entendre sa respiration
La voir bouger
Dans son sommeil
Chaque seconde encadrée
Oh mon dieu
Pas une
N'est semblable, semblable

Sentir le chœur
Et il murmure
S'accrocher plus fort
Le temps est un tueur
Nous le devancerons toi et moi
Nous le devancerons si seulement nous essayons
Ce soir
Partir

Mais il continue de passer, comme un fleuve
Vers l'océan, déferlant toujours

Qu'on aime, laisse aller, dis-moi que nous existerons toujours
Dis-moi maintenant, dis qu'il en est ainsi, dis qu'il en est ainsi, dis qu'il en est ainsi

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